A todos os nossos sonhos...
Aqui deixo, dedicado a todas as Almas puras que “apenas” sabem amar e, em especial, a uma bela Alma (a Ni- ela sabe porquê) esse portentoso "Je te donne" - um hino ao Amor, com a música grandiosa de Beethoven, trabalhada por Ferré.
A poesia deste (também usou na sua música poemas de Baudelaire, Verlaine, Rimbaud e Apollinaire) faz-nos vir as lágrimas aos olhos; é a inexplicável nostalgia que se apodera de nós!...talvez por causa do que nos foi dado viver e por tudo aquilo que não nos foi dado viver; por vezes, até temos nostalgia do tempo que não vivemos...ele bem que falou da solidão, das mulheres, e da amizade que muitas vezes não existe.
"Les fleurs à inventer les jouets d'une comète
Les raisons d'être fou la folie dans ta tête
Des avions en allés vers tes désirs perdus
Et moi comme un radar à leurs ailes pendu
Des embruns dans tes yeux et la mer dans ton ventre
Un orgue dans ta voix chaque fois que je rentre
Des chagrins en couleur riant à ton chevet
Les lampes de mes yeux pour mieux les éclairer
Les parfums de la nuit quand ils montent d'Espagne
Les accessoires du dimanche sous ton pagne
Les larmes de la joie quand elle est à genoux
Le rire du soleil quand le soleil s'en fout
Les souvenirs de ceux qui n'ont plus de mémoire
L'avenir en pilules toi et moi pour y croire
Des passeports pour t'en aller t'Einsteiniser
Vers cet univers glauque où meurent nos idées
Des automates te parlant de mes problèmes
Et cette clef à remonter qui dit " je t'aime "
Un jardin dans ton cœur avec un jardinier
Qui va chez mon fleuriste et t'invite à dîner
Des comptes indécis chez ton marchand de rêves
Un sablier à ton poignet des murs qui lèvent
Des chagrins brodés main pour t'enchaîner à moi
Des armes surréelles pour me tuer cent fois
Cette chose qu'on pense être du feu de Dieu
Cette mer qui remonte au pied de ton vacarme
Ces portes de l'enfer devant quoi tu désarmes
Ces serments de la nuit qui peuplent nos aveux
Et cette joie qui fout le camp de ton collant
Ces silences perdus au bout d'une parole
Et ces ailes cassées chaque fois qu'on s'envole
Ce temps qui ne tient plus qu'à trois... deux... un... zéro
A poesia deste (também usou na sua música poemas de Baudelaire, Verlaine, Rimbaud e Apollinaire) faz-nos vir as lágrimas aos olhos; é a inexplicável nostalgia que se apodera de nós!...talvez por causa do que nos foi dado viver e por tudo aquilo que não nos foi dado viver; por vezes, até temos nostalgia do tempo que não vivemos...ele bem que falou da solidão, das mulheres, e da amizade que muitas vezes não existe.
"Les fleurs à inventer les jouets d'une comète
Les raisons d'être fou la folie dans ta tête
Des avions en allés vers tes désirs perdus
Et moi comme un radar à leurs ailes pendu
Des embruns dans tes yeux et la mer dans ton ventre
Un orgue dans ta voix chaque fois que je rentre
Des chagrins en couleur riant à ton chevet
Les lampes de mes yeux pour mieux les éclairer
Les parfums de la nuit quand ils montent d'Espagne
Les accessoires du dimanche sous ton pagne
Les larmes de la joie quand elle est à genoux
Le rire du soleil quand le soleil s'en fout
Les souvenirs de ceux qui n'ont plus de mémoire
L'avenir en pilules toi et moi pour y croire
Des passeports pour t'en aller t'Einsteiniser
Vers cet univers glauque où meurent nos idées
Des automates te parlant de mes problèmes
Et cette clef à remonter qui dit " je t'aime "
Un jardin dans ton cœur avec un jardinier
Qui va chez mon fleuriste et t'invite à dîner
Des comptes indécis chez ton marchand de rêves
Un sablier à ton poignet des murs qui lèvent
Des chagrins brodés main pour t'enchaîner à moi
Des armes surréelles pour me tuer cent fois
Cette chose qu'on pense être du feu de Dieu
Cette mer qui remonte au pied de ton vacarme
Ces portes de l'enfer devant quoi tu désarmes
Ces serments de la nuit qui peuplent nos aveux
Et cette joie qui fout le camp de ton collant
Ces silences perdus au bout d'une parole
Et ces ailes cassées chaque fois qu'on s'envole
Ce temps qui ne tient plus qu'à trois... deux... un... zéro
JE TE DONNE TOUT ÇA, MARIE !"
2 Comments:
«Ces silences perdus au bout d'une parole
Et ces ailes cassées chaque fois qu'on s'envole»
...
Céus... que belo!
Meu caro amigo, Bem Haja... por este carinho!
Só as grandes almas entendem para além do que se diz!
Obrigada. De coração o digo...
Que os anjos vos protejam!
(Permitam-me que fale no plural... porque aprendi a gostar da sua esposa..... sabe porquê? Porque quem é amada como você a ama... é porque é alguém especial! Sorriso.)
Ni*
Ni, as minhas/nossas preces estão consigo e com aqueles que V. mais ama...
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